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Algérie, la patrie en danger

Du déjà-vu. Avez-vous remarqué que la baisse drastique des cas de contaminations au Covid-19 en Algérie n'est pas commentée dans les médias internationaux. Une extraordinaire réussite qui rend malades nos ennemis. Ce qui fixe le degré de haine qui habite les revanchards qui n'ont pas digéré notre indépendance. Sinon, quels autres motifs? Nous n'avons attaqué personne. Tout le monde connaît notre pacifisme. Nos ennemis cachent, aujourd'hui, les vraies raisons qui les habitent depuis fort longtemps. Pour mieux se cacher, ils sous-traitent leur agression. Localement. Il faut que cela apparaisse comme un affrontement fratricide. Derrière nos frontières des amplificateurs suffisent pour attiser le feu et le propager autant que faire se peut. Cependant, ce qui se trame aujourd'hui contre notre pays n'est pas nouveau. C'est juste la forme qui change. Nous sommes en 2021. Nous avons une armée puissante capable de nous protéger. Ce qui pousse nos ennemis à adopter une autre stratégie qui consiste à pousser vers l'implosion. Ce qui permet à un vieux et sinistre complot de se draper des droits de l'homme. Il ne faut pas avoir la mémoire courte et se rappeler le fameux colloque tenu à Marseille en 2012 au titre évocateur «la guerre d'Algérie 50 ans après». Quand on vous disait qu'elle n'est pas finie cette guerre d'Algérie. À ce colloque, s'est illustré le porte-parole du sionisme, Bernard-Henri Lévy, qui a déclaré «L'Algérie n'est pas un pays arabe ni islamique mais un pays juif et français, sur un plan culturel». On comprend mieux la présence du Mossad aux côtés des forces coloniales durant la Guerre de Libération nationale. Et d'ajouter: « l'Algérie connaîtra elle aussi un printemps arabe.» Les ingrédients des «printemps arabes» passés ont tous été les mêmes. Faits divers montés en épingle, manifestations de rues, infiltrations de mercenaires, violences, beaucoup de caméras, amateurs et professionnelles, du sang et «l'affaire» est bouclée. «Les allégations dénuées de tout fondement» contre notre Armée nationale populaire citées, hier, dans le communiqué du MDN, font partie du plan subversif cité plus haut. Que le Makhzen marocain prête main forte au sionisme contre l'Algérie cela ne date pas de la «normalisation». L'Emir Abdelkader, lui aussi, a pu mesurer la «fraternité» de la monarchie marocaine. Les traîtres et le sionisme ne réussiront pas aujourd'hui ce qu'ils n'ont jamais réussi par le passé! 

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