L'Expression

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Le diplomate de l’Algérie nouvelle

Rappel. La tenue, jeudi dernier, de la «rencontre sur la promotion de la diplomatie économique» en Algérie était l'occasion de rappeler que notre ministère des affaires étrangères «apportera toute sa contribution à l'effort de relance économique et aux objectifs de diversification de notre économie, d'attrait des investissements et de développement de nos exportations hors hydrocarbures». Et ce «conformément au programme et aux directives de Monsieur le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune». Cette contribution s'étalera sur deux axes. «L'attrait des investissements» étrangers en Algérie et le «développement de nos exportations hors hydrocarbures». Dans l'organigramme du ministère des AE, c'est une direction avec ses deux sous-directions qui sont chargées de traduire sur le terrain cette contribution. Si pour le premier axe, la diplomatie algérienne devra faire preuve de dynamisme pour attirer les investisseurs étrangers en Algérie, le second axe est matérialisé par l'ouverture d'un guichet d'informations pratiques au profit des candidats à l'exportation. Dans ce deuxième volet, l'apport principal du ministère se trouve dans la liste des accords bilatéraux et multilatéraux que l'Algérie a signés et ratifiés à l'international. On apprend par exemple qu'il n'y a aucun accord avec l'Australie. Ni avec la Thaïlande. Par contre avec le Vietnam, le Pakistan, l'Inde et surtout la Chine, des accords et mémorandums existent. Nous n'avons pris que quelques exemples. D'autres pays sont listés par le ministère. Pour l'opérateur algérien qui envisage d'exporter, ces informations sont déterminantes. Mieux, le ministère des AE «s'engage à informer et accompagner l'opérateur économique dans les dimensions relatives au volet extérieur de ses démarches». Sauf que, pour précieux que sont l'accompagnement et les informations préalables à l'export, «la contribution effective et efficace de l'ensemble de la chaîne des intervenants» est nécessaire précise le ministère. La diplomatie économique n'est qu'un moyen supplémentaire des autres structures chargées des étapes de l'export. Telle l'Andi et Algex par exemple ou la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci) et son vaste réseau de CCI. Cependant, les opérateurs doivent se remettre en cause et veiller à la mise aux normes des produits à exporter. De la qualité de production à l'emballage. Sans quoi l'export restera, pour eux, compliqué!

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