Tebboune plus déterminé que jamais

Indices. Le président de la République suit les milieux hostiles à notre pays dans leurs rumeurs et fake news qui ont pour but de saper le moral du peuple. Au cours de l'entretien, diffusé lundi dernier, avec les responsables de médias nationaux, le chef de l'Etat a cité l'exemple des réserves de change et l'intérêt que leur accordent les Algériens. Les milieux qui distillent les rumeurs de leur épuisement obligeant l'Algérie à recourir à l'endettement extérieur, sont, selon Tebboune, restés sur de vieux schémas. Ceux des importations démesurées et injustifiées qui faisaient atteindre la facture annuelle jusqu'à 60 milliards de dollars alors que nos besoins réels ne s'élèvent qu'à 8 milliards de dollars annuellement. La différence servait à la surfacturation et aux transferts illégaux de devises. Une fois démantelée cette incurie organisée, la vérité éblouit. Avec des recettes pétrolières en 2020 et ce malgré la chute du prix du baril, de l'ordre de 24 milliards de dollars, c'est trois fois plus que nos besoins. Donc on est loin de l'épuisement de nos réserves. Les plus actifs parmi ces milieux hostiles, Tebboune ne les cite pas, mais ils sont connus de tous. Il s'agit du Maroc et de son dernier «mariage» contre nature avec Israël. Ils choisissent les sujets à déformer en fonction de leur impact sur les Algériens. C'est ainsi, qu'une année après son investiture, le président de la République est devenu leur cible favorite. Signe de la place de plus en plus grande que prend le président Tebboune dans le coeur des Algériens. C'est dans ce sens qu'il faut comprendre la panoplie des sujets qui l'ont visé allant de «l'attentat» jusqu' à sa «démission» en passant par un «désaccord avec les dirigeants de notre armée». Au cours de l'entretien, Tebboune a expliqué que notre armée, dont il est le chef, s'est professionnalisée depuis qu'elle a quitté le comité central du FLN dans les années 80 du siècle dernier. Elle est d'une discipline digne des plus grandes armées du monde. Ses missions sont celles que lui attribue la Constitution. Quant à sa «démission», le président Tebboune a dit pourquoi elle n'avait pas de sens. Par loyauté aux 10 millions d'électeurs qui ont participé à l'élection présidentielle et pour tenir son engagement d'une vie décente aux 8,5 millions d'Algériens qui vivent dans les zones d'ombre. Le président Tebboune a paru plus déterminé que jamais à construire l'Algérie nouvelle!