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Production nationale et exportations hors hydrocarbures

Des résultats inédits

La rationalisation des importations et la promotion des exportations ont permis l'émergence de nouvelles industries.

Arguments indiscutables de la nouvelle politique économique adoptée par les pouvoirs publics, ces dernières années, les résultats de la production nationale et de l'activité de l'exportation hors hydrocarbures témoignent d'une avancée inédite en matière de relance industrielle. C'est ce qu'a relevé le ministre du Commerce lors de la cérémonie d'ouverture de la 55e édition de la FFoire internationale d'Alger, précisant que «les mesures prises dans le cadre de la rationalisation des importations et de la promotion des'exportations a donné lieu à l'émergence de nouvelles industries permettant à plusieurs importateurs de se convertir en producteurs et exportateurs dans ces filières».
Une avancée rendue possible grâce aux actions de réformes qui ont touché l'ensemble des secteurs, à travers, la promulgation de la nouvelle loi sur l'investissement, la facilitation d'accès au foncier économique, et un accompagnement sans précédent pour les porteurs de projets. Il faut dire que l'engagement de l'État à améliorer le climat des affaires, et redresser l'activité économique, a été déterminant pour aboutir aux résultats enregistrés. Le bilan est sans équivoque. Les chiffres sont on ne peut plus éloquents. En l'espace de quatre années, l'économie nationale est passée d'une situation de léthargie à une organisation forte, présentant de sérieuses perspectives de développement et de croissance.
Il y a lieu de souligner, que ces aboutissements traduits sur le terrain, par une forte dynamique commerciale découlent également des effets de la décentralisation et au travail d'institutions stratégiques tels que l'Aapi, et les différents dispositifs de soutien et d'aide à l'investissement.
Ces derniers ont considérablement contribué à la mise en oeuvre et le suivi des programmes de développement, et des orientations à la restructuration de la scène économique.
Un travail colossal qui a nécessité la mobilisation de tous les acteurs, pour aboutir à des équilibres entre les volumes de production, la couverture des besoins nationaux, et le développement des exportations. Autrement dit, le passage du statut d'importateur à celui de producteur renseigne sur la présence de nouvelles dispositions juridiques, et d'outils administratifs et financiers, hautement favorables pour l'édification d'un tissu de PMI et PME susceptible de relever le défi économique. C'est sur ces axes que l'économie nationale compte rebondir sur la scène régionale et internationale. Ã ce titre, il va sans dire, que les actions de déploiement et d'ouvertures sur les marchés étrangers, ont contribué à élever le niveau de partenariats et de coopération, qui permet de développer les niveaux de production.
En somme, tous les ingrédients sont réunis pour opérer une transition économique à la hauteur des capacités et des richesses du pays.
Les résultats obtenus ces dernières années, confirment la pertinence des directions adoptées pour remettre l'économie sur pied. Cela étant, ils demeurent dans le besoin d'être valorisé à travers le parachèvement des chantiers en cours, à l'image de la généralisation de la numérisation, du maintien du rythme de développement des secteurs stratégiques tels que, l'industrie, l'agriculture, le commerce, et l'économie de la connaissance. Ce qui implique une obligation de réussite en matière de réforme centrales, en l'occurrence, bancaire, financière, et administrative.

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