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Au cours de sa visite au Bénin et au Congo

Attaf souligne le caractère exemplaire des relations

Attaf a mentionné que « sa rencontre avec le chef d’État congolais a permis de faire un tour d’horizon des relations bilatérales, relevant le caractère exemplaire de la relation de coopération et de concertation qui existe entre les deux pays ».

Le ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, poursuit sa tournée en Afrique en qualité d’envoyé spécial du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Ahmed Attaf a en effet effectué une visite officielle en République du Bénin. Cette visite a été l’occasion pour échanger les points de vue entre les deux pays et trouver les voies et moyens pour diversifier la coopération et l’approfondir. Dans ce sens, le communiqué du ministère des Affaires étrangères à souligné que « le ministre d’État a eu des entretiens avec le ministre des Affaires étrangères et de la coopération de la République du Bénin Shegun Bakari, ayant porté sur les voies et moyens de promouvoir la coopération entre les deux pays frères. Les deux parties ont également abordé les développements de la situation dans leur espace d’appartenance commun et la coordination concernant les échéances prévues au niveau continental », lit-on dans le communiqué.
Attaf s’est déplacé au Congo où il a été reçu par le président de la République Démocratique du Congo, Denis Sassou-N’Guesso. Le ministre d’État a déclaré à propos de cette visite à Brazzaville que « la qualité des relations algéro-congolaises, sont exemplaires. Ce sont de ces relations qui disposent d’autres perspectives plus prometteuses encore », et d’ajouter : « Cette audience s’inscrivait, précisément, dans la poursuite de cette vieille tradition de coopération et de concertation qui caractérise les rapports entre nos deux pays », a-t-il précisé.
Il faut rappeler que le ministre des Affaires étrangères a effectué une visite officielle au Congo, en qualité d’envoyé spécial du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Dans ce sens, Attaf a mentionné que « sa rencontre avec le chef d’État congolais a permis de faire un tour d’horizon des relations bilatérales, relevant le caractère exemplaire de la relation de coopération et de concertation qui existe entre les deux pays.
Nous avons, ensemble, fait une évaluation de l’état de cette relation et ensuite, tracé d’autres perspectives plus prometteuses encore », précise le communiqué du ministère.
Le ministre d’État, Ahmed Attaf, a souligné que « les relations bilatérales entre l’Algérie et le Congo se portent bien et sont même excellentes. Elles sont sur une bonne dynamique et elles gagnent en substance. Certains domaines de coopération sont satisfaisants, notamment l’énergie, la géologie, la formation et les affaires territoriales », a précisé le communiqué.
L’Algérie et le Congo se sont entendus sur l’idée de la réouverture de la ligne aérienne en soulignant dans ce sens que « d’autres perspectives sont actuellement en cours d’examen », a-t-il mentionné.
À propos de la lettre du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, qu’il a remise au président Sassou-N’Guesso, le ministre d’État, Ahmed Attaf, a expliqué que les deux parties ont « traité des grands défis auxquels l’Union africaine doit faire face », et d’ajouter à propos de l’appartenance au G20 que « la question du Conseil de sécurité des Nations unies et l’amélioration de la représentation africaine au sein de cette institution, l’appropriation africaine des missions de sécurité et de paix en Afrique, la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), et une meilleure représentation de l’Afrique au sein des institutions économiques et financières internationales », et d’ajouter : « Ces sujets font l’objet de concertations et d’échange de vues entre les chefs d’État pour qu’ensemble, Algériens et Congolais, pouvons contribuer à relever ces défis », a-t-il dit. Ahmed Attaf a soulevé la crise libyenne en soulignant que « la situation reste difficile, 14 ans après son début, les Libyens n’entrevoient pas le bout du tunnel », et d’ajouter : « les Algériens et les Congolais sont d’accord sur au moins trois conditions indispensables pour le règlement de cette crise. Le règlement de la crise libyenne est l’affaire de tous les Libyens et que tous les Libyens doivent trouver leur place et déployer leur génie et leurs efforts pour parvenir à une réconciliation nationale », a-t-il insinué.

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