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Microentreprise

L’État soutient les entrepreneurs

Le gouvernement a placé le soutien des microentreprises parmi ses priorités.

Axé sur le développement de moyens et de processus efficaces pour accompagner les jeunes porteurs de projets, l’État ambitionne de passer à la vitesse supérieure en matière de prise en charge de leurs préoccupations. À ce titre, le ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Microentreprises, Noureddine Ouadah, a souligné, jeudi,;lors de la cérémonie d’ouverture de la 1ère édition du Salon national de la micro-activité (du 9 au 12 janvier), que « le gouvernement plaçait le soutien des micro-entreprises parmi ses priorités, mettant en avant les succès réalisés par l’Algérie dans ce domaine, considéré comme un pilier essentiel pour promouvoir le développement économique et social ». Il va sans dire que les résultats et les avancées enregistrés par le secteur ces dernières années, ont contribué efficacement à la concrétisation des objectifs des réformes engagées, à savoir la diversification de l’économie nationale, et l’édification d’un environnement favorable pour booster l’investissement, la création d’entreprise, et d’emplois. Une évolution qui s’est appuyée essentiellement sur l’accompagnement indéfectible de l’État et sur les effets des résultats des actions de réformes profondes, à l’image de la restructuration du secteur financier et bancaire, et la généralisation de la numérisation, pour ne citer que celles-là. De la décentralisation de l’administration et de la mise en œuvre des guichets uniques de l’Aapi, en passant par l’application des mesures de facilitations à l’obtention des micro-crédits, l’entrepreneuriat s’impose comme un axe hautement stratégique pour le développement économique. Il se positionne au centre de la stratégie adoptée par les pouvoirs publics, pour optimiser la capitalisation des richesses et des ressources locales en plus-value.
L’objectif étant de constituer des bases de lancement opérationnelles pour l’investissement, en vue d’activer les leviers nécessaires pour répondre aux besoins et aux exigences du développement économique. Autrement dit, le développement du secteur de l’entrepreneuriat, de la microentreprise, et des start-up, contribuera de façon directe à la concrétisation des programmes de développement. Une évolution qui sera valorisée par les effets de la numérisation, notamment en matière de facilitation des processus d’investissement et d’accompagnement. Dans cette configuration, il convient de souligner les répercussions des avancées inscrites sur le plan de la coordination entre les secteurs, et le rapprochement des investisseurs de l’administration. Des effets qui ont largement contribué à libérer l’acte d’investir, et à renforcer l’attractivité des formules proposées, autant sur le plan financier et bancaire, que sur le plan fiscal. Aussi, M. Ouadah, a affirmé que «le lancement de la nouvelle plateforme électronique de l’Angem a permis le passage à une nouvelle phase où les jeunes entrepreneurs peuvent bénéficier d’un crédit à distance sans se déplacer. En outre, de la commercialisation des produits en adoptant des services de paiement et de livraison électroniques et l’importance de s’orienter vers l’exportation ».
Par ailleurs, le ministre a tenu à souligner l’évolution de la microentreprise et des produits , précisant que « les artisans ont présenté lors de ce salon des produits excellents qui contribuent à la préservation du patrimoine national ainsi que leur forte participation au soutien de l’économie nationale, tout en rappelant les efforts du gouvernement pour encourager tout ce qui est susceptible de diversifier l’économie nationale ».

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