Révélations sur une alliance criminelle

Les services de sécurité viennent de démasquer un complot ciblant la stabilité de l'Algérie, planifié par des séparatistes de l'organisation terroriste, le MAK et soutenu par ce qu'on appelle Israël. Les tenants et les aboutissants de cette affaire ont été diffusés par la chaîne de télévision publique, montrant les images des inculpés avouant leur participation à ce complot. La Dgsn avait également transmis un communiqué, dans ce sens. Les acteurs de mauvais rôle, projetaient ainsi «de mener une action armée à l'intérieur du territoire national, avec la complicité d'organisations terroristes comptant ses éléments à l'intérieur du pays».Ce complot machiavélique qui a fort heureusement été mis en échec, a été l'oeuvre d'un de ces réseaux terroristes avec le soutien de l'entité sioniste et d'un pays nord-africain». Il ne peut s'agir que du Maroc, puisque c'est le pays qui entretient des liens étroits avec l'entité sioniste.
Dans son communiqué, la Dgsn, a souligné, à ce même propos, qu' «elle «a procédé au démantèlement de l'activité d'un groupe criminel affilié à l'organisation terroriste MAK, dans les wilayas de Tizi Ouzou, Béjaïa et Bouira, en Kabylie», et ce après des investigations qui lui ont permis d'identifier les mis en cause, d'où l'arrestation de «17 suspects au motif qu'ils projetaient de mener des opérations armées visant à compromettre la sécurité et l'unité nationales, avec la complicité de partis internes affiliés à l'organisation MAK». Rappelons, dans ce contexte, que le MAK a été classé, par l'Algérie, comme organisation terroriste au même titre que Rachad, lors d'une réunion du Haut Conseil de Sécurité, dirigé par le président de la République chef suprême des Forces armées et ministre de la Défense nationale, Abdelmadjid Tebboune. Un mandat d'arrêt international est lancé contre Ferhat Mheni, le chef terroriste du MAK, terré en France. Les investigations des services de sécurité conduisant aux aveux des suspects arrêtés ont démontré que «les membres de ce groupe terroriste étaient en relation avec des parties étrangères, par les moyens technologiques de communication». Le groupe, a-t-on ajouté dans la correspondance de la Dgsn, «était actif sous couvert d'associations et d'organisations de la société civile implantées au sein de l'entité sioniste et dans un pays nord-africain». La même source soutient que «les perquisitions des domiciles des suspects ont été effectuées sous la supervision des autorités judiciaires compétentes et ont permis la saisie de documents attestant des contacts permanents avec l'entité sioniste, des armes, du matériel militaire, des emblèmes et des tracts de propagande, appartenant à l'organisation terroriste MAK».