L'Expression

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Indemnisations, renouvellement du cheptel et aides aux victimes des incendies en Kabylie

Une montagne de projets

Les cadres centraux et locaux sont mobilisés et savent que le président de la République suit de très près leur travail.

Les terribles incendies qui ont endeuillé des dizaines de familles à Tizi Ouzou et Béjaïa ont mis la société et l'Etat devant le triple défi de dire la vérité sur leur origine criminelle, d'organiser un exceptionnel élan de solidarité et de veiller à reconstruire, à l'identique, ce que les flammes avaient détruit. Le président de la République, au même titre que tous les Algériens, a vécu dans sa chair le drame qui a frappé la Kabylie. Il était mobilisé tout autant que l'ensemble des citoyens de la région, des militaires, des hommes de la Protection civile et des volontaires. Abdelmadjid Tebboune a pleinement joué le rôle qui était le sien à chaque phase de ce douloureux événement. Cette posture n'est pas conjoncturelle. Dès sa prise de fonction il savait ce qu'il devait aux Algériens et qu'il sera jugé sur pièce.
Il n'a lésiné ni sur les moyens ni sur les efforts pour permettre une lutte efficace contre les incendies. Et pendant que les uns et les autres étaient occupés à stabiliser la situation sur le terrain, aidés par un immense afflux des aides à partir des 48 wilayas du pays, Tebboune a entrepris d'installer la Commission nationale des indemnisations. Il en a personnellement présidé la première réunion. Avec son sang-froid, il a su trouver les mots et prendre les bonnes décisions sans céder ni à la panique ni à la surenchère, malgré l'immensité de la tâche.
Il convient de souligner, à ce propos, que la promptitude de la réaction présidentielle était, en soi, un signe probant d'une volonté de ne perdre aucune seconde. Ancien wali de Tizi Ouzou, le président de la République connaît très bien la région et sait parfaitement l'importance du facteur temps dans ces zones montagneuses où chaque jour compte. Les agriculteurs qui avaient tout perdu dans ces incendies, avaient besoin de ce signal fort. Tebboune a très bien senti l'urgence et agi en conséquence. Et son action ne se limitait pas à attendre des rapports hebdomadaires. Il a consacré une partie de son temps au dossier crucial des indemnisations. Il n'y a pas un souci, un petit couac dans la machine administrative qui n'est pas remonté jusqu'au palais d'El Mouradia, dans les minutes qui suivaient. Faire tourner une administration aussi lourde et bureaucratisée nécessitait une veille permanente. Rien ne devait être oublié. Le moindre village, le plus petit verger, le plus insignifiant élevage, chaque agriculteur, étaient autant de soucis majeurs pour le chef de l'Etat. L'opération reconstruction de la Kabylie s'est imposée, aux yeux de tous les fonctionnaires centraux et locaux, comme une tâche prioritaire. Rien ne devait être laissé au hasard. Ce sont les instructions du Président et il en contrôlait personnellement la bonne exécution. Cette présence au plus près des préoccupations des citoyens sinistrés a été le facteur prépondérant dans la qualité du recensement des dégâts, l'identification des victimes et la finalisation du dossier indemnisations en un temps record. Du jamais-vu dans les annales d'une administration habituée à un rythme autrement plus lent.
Aujourd'hui, les premiers cheptels, les arbustes sont déjà parvenus dans la région.
Les cadres du ministère de l'Agriculture sont mobilisés et savent que le président de la République suit de très près leur travail. Un véritable dispositif est mis en place pour importer au plus vite autant de bovins et d'ovins que nécessaire pour repeupler la région et permettre aux agriculteurs de se remettre au travail. Les familles qui ont perdu leurs habitations ont reçu leurs indemnisations et l'opération se poursuit toujours, avec le même rythme soutenu et sous le contrôle étroit de Abdelmadjid Tebboune.
L'opération reconstruction de la Kabylie est un grand succès dans sa première étape. Le témoignage d'un éleveur qui a tout perdu dans les incendies en atteste. «J'ai toujours été critique et très méfiant envers l'Etat, particulièrement lorsqu'il fait des promesses. Mais cette fois, je ne trouve pas les mots. Le président et l'Etat ont été à la hauteur», soutient-il. Cette reconnaissance de l'efficacité de l'Exécutif dans la gestion de l'après-incendies traduit clairement un changement dans les mentalités au sein d'une administration mise en demeure de réussir ou de déposer le tablier. C'est précisément le credo du président Tebboune qui, à travers cet immense chantier de la Kabylie, apporte la preuve que tout est possible, que les serviteurs de l'Etat sont d'abord au service du citoyen.
La nouvelle donne est on ne peut plus claire: tout manquement sera lourdement sanctionné. Plus de justification à l'inaction. L'incompétence et la bureaucratie sont des ennemis à combattre. Et le plus important dans l'action du Président, c'est la promesse tenue de ne laisser personne en rade. «Incontestablement, le président Tebboune est en train de changer le pays. Même si le chemin est encore long, l'Algérie est beaucoup mieux lotie aujourd'hui», dit un homme qui le connaît parfaitement.

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