L'Expression

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Ça redémarre...

Les amateurs de multiples fréquentations des juridictions ne se sont pas aperçus du ralentissement du rythme des audiences correctionnelles durant les mois «morts» en général, de juillet et août. Cependant, il est toutefois vrai, qu’exceptionnellement, cette année de 2024, aura été la plus chaude des dernières décennies. Ce qui explique la très forte baisse de fréquentations des audiences pénales. Il est bon de préciser que les tribunaux et cours ont laissé un magistrat de permanence pour juger les inculpés et prévenus amenés pour les «comparutions immédiates». Bon sang, il faut bien juger les suspects pris en flagrant délit ! C’est pourquoi ces audiences passent comme une lettre à la poste. C’est pourquoi qu’en ces difficiles périodes, de divers «délits estivaux», tels les vols à l’arraché, les nombreuses tentatives de cambriolage de domiciles et locaux commerciaux, désertés momentanément par leurs propriétaires, souvent en détente au bord de mer etc. Au centre du pays, des cours comme celles de Médéa, Tizi Ouzou, Blida, Tipaza, Bouira, Aïn Defla, Boumerdès, c’est presque le calme plat. Mais à Alger, y a Allah, que d’incessants mouvements d’hommes, de femmes, d’autos, de nombreux et d’exaspérants «va- et- vient» ! Policiers, gendarmes, et autres partenaires et auxiliaires de justice sont constamment sur le qui-vive ! Les services de sécurité ont l’œil à tout. Eux aussi ont bossé jours et nuits, surtout à l’approche et lors de la grande échéance de la présidentielle 2024 ! L’excellente collaboration, et la rassurante harmonie parquet-police judiciaire semblent au beau fixe. Que cherche le justiciable ? Une justice, pardi ! Même pas une très bonne justice. Les citoyens désirent seulement une «juste» justice. Celle qui leur permet de rentrer chez eux, le soir, ravis que justice soit faite, sans intervention, ni coups de piston. Est-ce là un rêve fou ? Non, c’est la réalité nue ! Demandez donc à la merveilleuse Farida Slimane, la douce présidente du tribunal administratif, qui a embrassé la carrière de magistrate, par vocation, et non par cupidité ou autres zigzag et dribbles inutiles pour arriver à une quelconque notoriété. Et elle n’est pas la seule : nous pouvons ajouter les sublimes juges telles Yamina Guerfi, Djamila Chabane, Folla, Zoubidah Charafeddine, Dounia Guellati, Dalila Issolah, et autres Karima Mégari-Bouchama. Si quelques-unes d’entre elles, se reposent aujourd’hui, l’esprit et la conscience tranquilles, d’autres magistrates «ratées» continuent, à travers leurs pernicieuses interventions à causer du tort à «Dame justice», qui n’a pas besoin de telles énergumènes, en pleine nouvelle Algérie ! Elles sont disséminées ça et là à travers les cours, causant de petits dégâts, mais dégâts tout de meme ! Elles sont si efficaces, et surtout bien épaulées et protégées, qu’il est quasi impossible de les déceler, les dénuder, et juger surtout et avant tout, comme il se doit. Ã Allah va ! 

De Quoi j'me Mêle

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