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La Sapho tient son 5e congrès

Deuxième journée de cette rencontre de trois jours

La Société algérienne de pharmacie hospitalière et oncologique (Spaho), que préside la professeur El Mansouriah Nebchi, organise, depuis mercredi, son 5e Congrès international auquel assistent plusieurs pharmaciens de nationalités différentes. Cette rencontre de trois jours, qui a ouvert ses travaux, jeudi, à Alger, a été rehaussée, hier, par une brève intervention du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid qui s‘est évertué à saluer, en particulier, les efforts professionnels déployés par les pharmaciens à l'ère de la pandémie Covid-19. Il faut savoir que cette 5e édition internationale se tient sous le haut patronage du ministre de la Santé ainsi que sous celui du ministre de l'Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Lotfi Djamel Benbahmed. Cette seconde journée, dense, du 5ème congrès, qui avait réuni lors de sa première édition, plus de 480 pharmaciens, se tient sous le thème: «Le pharmacien hospitalier à l'ère de la pandémie de la Covid-19», a été marquée par de nombre de communications relatives à plusieurs aléas qui perturbent cette profession dont on citera les plus récentes comme «L'implication du pharmacien hospitalier dans le crise de la Covid-19», «La pénurie des médicaments en cette période de pandémie» ou encore «Les innovations thérapeutiques-Maladies rares» en y ajoutant une intéressante communication ayant trait à «l'hémophilie- du diagnostic au traitement». Approché par nos soins, le vice-président de la Sapho, le professeur Mohamed Yacine Achouri, a synthétisé, pour L'Expression, la teneur des travaux de ce congrès, indiquant qu'il a été notamment question de «la disponibilité des médicaments des maladies rares», dont les molécules sont très onéreuses et le problème de leur accessibilité par le patient aux revenus limités». Il dira que le pharmacien est responsable des dispositifs des médicaments des «maladies rares» comme il l'est pour les «dispositifs médicaux soumis à une réglementation des normes appliquées dans ce domaine. Achouri a ajouté qu'un autre thème d'importance était au menu de cette rencontre à savoir «les maladies cardiovasculaires, thème par la professeur tunisienne, Dorra Jarrya, qui exerce sans un hôpital établissement spécialisé en chirurgie cardiovasculaire en Tunisie.»

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