L'Expression

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«One, two, three, viva l’algiré!»

Cette grosse peste de «ver de terre»

En football, Djamel Belmadi et son staff font un extraordinaire boulot en direction du peuple, qui est plus qu’heureux jusqu’à présent.

Faudrait-il maudire les réseaux sociaux pour tout ce qu'ils apportent actuellement au foot, en particulier, à sa famille et donc à son essor, son rayonnement et son avenir? Oui, à en croire la véritable guerre que mènent les ennemis de tout ce qui est beau, bon, appétissant, salivant, enivrant et emportant en un mot: délassant! Demain, les «Verts» des «A'» débuteront les folles intentions d'arracher, haut la main, la Coupe arabe en terre qatarie! Il y a, assurément, une sorte de grande résistance de la part des francs et belliqueux puristes, tels les fans des Verts qui ne jurent que par les exploits des leurs, tous les «verts «! Des U17 aux seniors de Riyad Mahrez! Le dernier en date l'a été, sur le dos des coriaces Burkinabè, qui sont tombés sur la pelouse bénie du stade Mustapha-Tchaker de Blida! Ils ont été empêchés d'être présents en Coupe du monde, par 2 fois, par les Fennecs en 2 essais (2014 et 2022)! Alors, en guise d'échauffement, les millions de supporters de l'EN vont passer d'excellents moments et pourront à gogo, reprendre le fameux, emportant, revigorant et égayant refrain: «One, two, three, viva l'algiré!» Malgré tous ces gains et joies, en foot, il se trouve des mécontents, des saboteurs, et le mot n'est pas trop fort pour rendre la vie dure aux Algériens! Oui, sinon comment expliquer qu'un sport qui procure des tonnes de joie, donne lieu à des joutes impensables et des divergences des enfants d'un même pays, qui ne mérite nullement ce qui lui arrive! Il suffit que les ennemis de l'extérieur tapent fort sur tout ce qui est algérien, fils d'algérien, petit-fils d'algérien, pour que les «harakètes» suivent! Ce dernier nommé qui vit, par exemple, en France, de drôles, et trop souvent, dramatiques situations, peut vous raconter des vertes et des pas mûres! La dernière est ce petit nain-zemmour- de jardin, qui s'était donné le titre de «rapatrié» en 1962, pour avoir 40 ans plus tard, la petite médaille de la «victimisation», des «événements d'Algérie» i.e. La glorieuse révolution armée du 1er Novembre 1954 et tomber subitement sur l'islam et les musulmans d'une manière générale, allant trouver le changement de tous les prénoms musulmans, inadéquats dans la patrie des droits de l'homme! Attention, lorsque ces sinistres individus prononcent le mot «musulmans», c'est qu'ils pensent automatiquement «Algérien»!
Oui, c'est la triste réalité! Alors, laissons l'ennemi de l'extérieur et serrons les rangs à l'intérieur, en se taisant autour de ce qui se fait chez nous, avec des Algériens et pour les Algériens. En football, Djamel Belmadi et son staff font un extraordinaire boulot en direction du peuple, qui est plus qu'heureux jusqu'à présent. Nous irons jusqu'à prévoir le moment où Belmadi s'en ira ailleurs, tenter sa chance sous d'autres chanceux cieux, le jour où les résultats ne répondront plus! Car, l'entraîneur sélectionneur algérien, sait mieux que quiconque, que les résultats positifs sont la seule ceinture de sécurité, les papiers et le permis de continuer, sinon, le conducteur sera obligé de rendre le tablier et la «vaisselle»! Et alors là, l'après- Belmadi sera pour tous ceux qui ont «le ver de terre» ou si vous voulez en dialectal, la «douda» du foot et de l'EN, déstabilisés et seront pris d'une terrible démangeaison où il faudra, alors, frotter indéfiniment jusqu'au jaillissement d'un regrettable flux sanguin! Tous les slogans déversés durant l'épopée des «Verts» ne pourront rien, après le départ de Djamel Belmadi, qui aura marqué qu'on le veuille ou non, de son indélébile empreinte, une valeureuse page de l'histoire du foot algérien! Le seul secteur qui offre aux Algériens l'occasion de se défouler, sans trop se casser les méninges, reste le foot! Alors, allons-y, que la fête commence et se termine par le chaud, reposant et réconfortant refrain: «One, two, three, viva l'algiré!»

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