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L’Aprue revisite les mécanismes de financement

Sur les pistes d’une énergie propre

L’Algérie entre de plain-pied dans la lutte contre les changements climatiques.

Le séminaire, qui devait être ouvert par le ministre de la Transition énergétique et des Énergies renouvelables, Ben Attou Ziane, l'a été par le SG du même département, Mohamed Salah Bouzeriba, qui a lu l'allocution ministérielle d'ouverture.
Le ministre Ziane a estimé que ces travaux vont dans «l'intérêt du pays en conciliant les aspects économiques par la prévention des ressources énergétiques, la création de richesses, sociaux par la création d'emplois et l'amélioration du confort des ménages algériens, et environnementaux par la réduction des émissions polluantes et celles de gaz à effet de serre pour la lutte contre les changements climatiques».
Cette transition énergétique, à laquelle le président de la République accorde une importance capitale et, qui constitue l'un des piliers de l'Algérie nouvelle, dira le représentant du ministre en son nom, se veut une «rupture totale» avec le modèle énergétique actuel basé exclusivement sur les énergies fossiles en empruntant la voie des «énergies renouvelables (...) et des énergies nouvelles tel que l'hydrogène vert en s'appuyant sur, notamment la jeunesse et les universitaires». De nombreux intervenants ont pris la parole pour conforter la position de l'Aprue. Citons, notamment des locutrices nationales et étrangères comme Lucilla Fornarini, experte de l'Union européenne du projet «Taka nadifa» et Lilia Lamara, de l'ambassade britannique en Algérie, qui a confirmé à L'Expression la mise à la disposition de l'Algérie d'un pactole de «quatre milliards de livres sterling» pour appuyer tous les projets relatifs à des projets verts».

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