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CIRCULATION DANS LA CAPITALE

50% de points noirs éliminés

Si à certains carrefours de la capitale la circulation est devenue fluide, ailleurs la situation a empiré.

Ce qui semble être une panacée peut s´avérer être avec l´usage plus que problématique encore. La capitale s´est trouvée confrontée aux problèmes de la circulation depuis de nombreuses années sans qu´une solution durable n´ait été trouvée. Le problème a empiré ces dernières années poussant les autorités publiques à se pencher sérieusement sur la question pour au moins atténuer les embarras causés par d´inextricables embouteillages. Les points noirs et les conjonctions rentrent dans le même cadre des problèmes de la circulation dans la capitale. Les responsables de ce secteur ont procédé à la réalisation de nombreux projets faramineux pour éliminer la trentaine de points noirs identifiés à Alger, telle la construction des rocades et des trémies dont la première a été inaugurée en 2005 à la Place Addis-Abeba (boulevard Bougara, carrefour entre les communes d´Alger-Centre, El Biar, El Mouradia et Sidi M´hamed)). Ces projets ont été réalisés en collaboration avec les ponts et chaussées et étaient censés apporter un mieux à la circulation dans le Grand Alger.
Jusqu´à maintenant la moitié de ces bouchons ont été éliminés. L´autre moitié qui reste devra être supprimée à l´achèvement des travaux d´ici à fin 2008 d´après le ministère des Travaux publics. Toutefois, ces travaux n´ont pas toujours été suivis par le mieux attendu. Prenons l´exemple de la trémie de Chevalley, qui, depuis son ouverture, a certes facilité la circulation pour les automobilistes partant d´El Biar pour Chéraga, mais semble avoir laissé presque en l´état la situation de la circulation dans la direction de Bab El Oued, à voir les bouchons qui la rendent malaisée. Par ailleurs, la trémie du Carrefour du 5 Juillet (Chevalley) a créé un autre bouchon sur deux côtés, l´un en allant vers l´autoroute et Zéralda, l´autre en direction de Bouzaréah. Ajoutons à cela les problèmes techniques qui ne cessent de se répéter depuis la livraison à la circulation de ladite trémie. Ecoulement de l´eau sur les parois et le mauvais état des lieux laissent les responsables perplexes. Rappelons que rien qu´en 2006 le nombre des voitures qui circulaient dans les rues d´Alger dépassait 45.000 pour une surface d´environ 400 hectares et d´une longueur totale de 230km. N´est-il pas judicieux d´élargir les routes intelligemment? A quoi bon réaliser de tels projets à des coûts faramineux, alors qu´ils auront surtout engendré d´autres difficultés plus complexes?

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