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MOHAMED HADEF, CANDIDAT

«Nous serons prêts si...»

Le président du MNE s’engage dans la bataille électorale d’avril prochain sans complexe aucun.

Le Mouvement national de l´espérance est déterminé à aller jusqu´au bout de son aventure électorale. Le problème des formulaires pour la collecte de signatures ne se pose plus. Le ministère de l´Intérieur et des Collectivités locales lui a ajouté, en plus des 100.000 formulaires initialement obtenus, 40.000 autres imprimés.
Ayant dépassé ce problème, le président du MNE a évoqué un autre obstacle de taille. Il s´agit de la légalisation des signatures au niveau des Assemblées populaires communales (APC). «Si le processus de la légalisation sera facilité, le jour J, nous serons présents avec, il faut l´avouer, des moyens dérisoires du moment qu´on a ni argent, ni réseaux, ni encore moins le temps», a-t-il indiqué.
Le Dr Hadef a cité le cas des wilayas de Chlef, Aïn Defla et Skikda qui, selon lui, ne facilitent pas la tâche globale à ses collaborateurs à travers les différentes wilayas du pays.
«Nous sommes victimes de certaines pratiques déshonorantes pour la politique noble, qui consistent à monopoliser les signatures avec des moyens colossaux», a-t-il encore déploré. Il a appelé dans ce sens les Algériens à soutenir son parti dans ce qu´il appelle la première bataille de la légalisation des signatures.
Par ailleurs, le Dr Hadef a dénoncé le deux poids, deux mesures et le parti pris des instances chargées de la préparation des plateaux où s´invite le débat contradictoire clamé par «ceux-là mêmes qui défendent la légalité politico-politicienne», allusion à l´émission de la Télévision nationale à laquelle étaient conviés des représentants de cinq partis politiques. «La légitimité électorale n´est pas suffisante à elle-même si elle n´est pas transformée en légitimité politique et quand on la perd, les gens ne nous font plus confiance», a-t-il commenté.
Concernant sa position sur les partis qui ont décidé de ne pas prendre part au scrutin du mois d´avril prochain, Hadef ne s´est pas montré gêné. «On respecte leur choix politique et on ne peut porter aucun jugement sur leur position, comme eux ils respectent notre choix», a-t-il soutenu.
Confiant de sa position et de ses chances, le président du MNE préfère temporiser avant d´appeler les citoyens à aller aux urnes.

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