L'Expression

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Pour une Apc «responsable»

Des élections «locales», pourquoi faire? oserions-nous dire, au vu des inepties de nos «élus» tout au long de leur mandat, un mandat qui n'en est guère un «vrai», du moment que toute action de l'heureux élu à la tête de l'Assemblée populaire communale (APC) reste tributaire du «bon vouloir» du wali en place. C'est ainsi, il ne faut pas hésiter à le dire, n'en déplaise à beaucoup. Que de projets initiés par ces élus sont tombés à l'eau car non conformes à certaines «directives» de la wilaya? Des moyens financiers insuffisants sont, «de tout temps», évoqués pour refuser ou reporter à l'infini, l'exécution d'un plan de développement souvent «nécessaire, urgent et utile» aux populations locales. Le magistrat élu à la tête de l'APC est, en principe, un individu issu de la commune ou du moins de la communauté locale environnante. Il doit connaître les problèmes que vit la population des lieux, afin qu'il puisse défricher au mieux l'imbroglio social et économique que vivent les gens de ladite commune. Qu'en est-il aujourd'hui? Il est évident que ce n'est pas le cas. En effet, ces futurs élus auront-ils les coudées franches et sauront-ils mener leur barque à bon port, sans interventions négatives ou, à la rigueur, une assistance d'orientation? Une question à laquelle ne peut répondre que l'avenir du travail, combien dense, qui sera affiché et inscrit sur le registre des assemblées qui seront élues le
27 novembre prochain.Une troisième échéance qui consacrera le programme démocratique mené par le président Abdelmadjid Tebboune et son gouvernement, à savoir les élections «présidentielle, constitutionnelle et législatives».

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